Un triste constat: toutes ces innovations nous privent des bras de Morphée, ce pourquoi "Nature et Pur" mets la recherche au service de ce temps de repos tant mérité et de la qualité d'une bonne nuit de sommeil.
Nous savons qu'aujourd'hui, la durée du sommeil varie pour chacun en fonction de sa génétique et de son environnement. Ces deux facteurs définissent entre 30 et 50% notre durée de sommeil dont nous avons réellement besoin.
Nos habitudes n'ont cessé d'évoluer au fil des siècles et avec eux notre rythme de vie. L'imprimerie, la vapeur, le gaz, l'électricité, le téléphone, la radio, la télévision et internet ... autant de révolutions qui ont changé nos modes de vie et ont réduit notre temps de sommeil. Nous passons notre temps à veiller devant des séries télévisés ou encore à regarder nos notifications sur les réseaux sociaux au lieu d'écouter notre corps qui crie famine devant la faim d'une bonne nuit.
Un triste constat: toutes ces innovations nous privent des bras de Morphée, ce pourquoi "Nature et Pur" mets la recherche au service de ce temps de repos tant mérité et de la qualité d'une bonne nuit de sommeil.
En un siècle le temps de sommeil à diminué d'une heure et demie en moyenne et le nombre de français qui dorment moins de sept heures par jour à considérable ment augmenté (un français sur trois). Nous nous privons de ce dont nous avons besoin.
Le taux d'obésité augmente, nos nuits deviennent de plus en plus courtes. A ce jour, un quart de la population des Etats-Unis, est considéré comme étant obèse (cf. l'indice de masse corporelle - IMC). Le rapport avec le sommeil trouve certaines raisons scientifiques:
Une première étude étudiant l'obésité chez l'enfant fait le lien avec le manque de repos, depuis plusieurs équipes ont constatés une évolution linéaire entre la courbe de l'IMC et la durée du temps de sommeil. Plus l'IMC est élevé, moins on dort. Une donnée verifié par l'enquête INSV/MGEN «Sommeil et nutrition», dans le cadre de NutriNet-Santé, menée auprès de 49.086 Nutrinautes, 37.846 femmes et 11.240 hommes, de janvier à juin 2014.
L’étude de Hasler, sur un groupe plus modeste, est une étude prospective avec le suivi de 496 jeunes adultes pendant 13 ans. Tout facteur confondant contrôlé, une association a été retrouvée entre un sommeil de courte durée et l’obésité.
Taheri confirme en 2004 cette relation entre une durée de sommeil de moins de 8 heures et l’obésité.
Les personnes ayant une durée de sommeil de 5 heures avaient une diminution de la leptine (une hormone qui provoque une diminution de l’appétit) et une augmentation de la ghreline (hormone produite par l’estomac qui stimule l’appétit).
Pour avancer sur la connaissance des facteurs héréditaires et comportementaux qui régulent nos besoins et habitudes, l’étude des jumeaux est source appréciable de données. Ainsi les jumeaux lorsqu’ils sont élevés ensemble, sont identiques en âge, avec des antécédents familiaux communs et une éducation commune.
D'autres études ont montré que les jumeaux monozygote (du même œuf) qui avaient des différences de durée de sommeil avaient des poids différents avec des indice de masse corporelle différents. L'étude actuelle de Watson va plus loin. Elle montre que les facteurs génétiques qui contrôlent le poids sont prédominants lorsque les personnes dorment peu, mais que leur rôle est beaucoup moins important si la personne dort davantage.
Autrement dit, la durée du sommeil modifie les caractéristiques héréditaire de l'IMC, c’est à dire que l'expression de risques génétiques pour le poids corporel est influencé par les habitudes de sommeil que chacun choisit. Dormir peu est donc un comportement qui potentiellement favorise la prise de poids.
Reste quand même que si vous voulez maigrir il ne faut ni être en restriction de sommeil, ni stressé, ni déprimé.
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